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Le match du dimanche matin…(GRRR)

Publié le 15 mars 2017 à 10h55

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Tant que j’étais joueur, je faisais tomber toutes les malédictions que l’humanité avait subis sur l’irresponsable qui dans mon imagination quelque peu étriquée, pouvait penser qu’un tel jour était jouable. Et puis je suis devenu entraîneur, ma connaissance du problème des créneaux de salle c'est modifier. Ça ne change pas mes malédictions… Cela étant, je ne pense pas être partial lorsque j’affirme : « QUEL MATCH !!! » Tous pour régaler, du combat, de la cohésion, de l’intensité et cerise sur le gâteau, du drame… Voilà les ingrédients d’un bon match, même perdu, je pense que les spectateurs présents n’ont pas dû regretter le réveil matinal du dimanche (enfin moi pas). Bien sûr vous vous doutez bien, pour ceux et celles qui lisent mes chroniques, que j’ai des points négatif à faire ressortir. Parce que quand même, ça serait décevant de la part de ce coquin d’entraîneur s’il n’avait pas à râler. Je réponds à cela… à peine, premier motif d’insatisfaction le drame. Était-il réellement nécessaire, ce psychodrame indépendant du jeu? Pour moi, une crise d’autorité n’est constructive que dans des circonstances extrêmes, si nous devons jouer nos matchs devant des supporters aussi passifs que des bovins autant faire ces parties dans une étable. Cela me fâche d'autant que cette interruption n'est pas du fait des arbitres mais de l'accompagnant de ceux-ci (encore une conséquence du dimanche matin?). Le deuxième, c’est le résultat. Oui je pense que nous pouvions gagner mais cela nécessite plus encore de sacrifices, les uns pour les autres et les uns avec les autres. C’est je pense, la seule chose qui me dérange sur dimanche. Car dans les faits, nous ne perdons pas face à un adversaire plus fort mais uniquement parce que nous nous sommes désunis. Le jour où nous franchirons ensemble ce palier, là je ne dirais plus « QUEL MATCH !!! » mais « QUELLE PERFORMANCE !!! » et la nous entrerons dans une autre dimension. Didier